7 mois plus tard…

Il m’est arrivé une tonne de choses depuis mon dernier article ! On peut appeler ça la vie je crois. Je me suis beaucoup occupée et je n’ai pas pris le temps de vous écrire…. et puis, il y a eu cette rencontre. La rencontre qui me met sur un nuage de bonheur depuis des mois maintenant.

Qu’est ce que ma vie a changé ! De l’amour, un déménagement, des projets… à chacun de juger comme bon lui semble mais nous on sait où on va et on est heureux avec notre tribu animale (mon GoodLuck adoré n’a pas supporté tout ces autres compagnons et est parti trouver un autre foyer… enfin je l’espère 😕).

Je goûte enfin au vrai bonheur et on est deux à nager en plein dedans. Le nuage sur lequel nous sommes montés il y a plusieurs mois s’étoffe de plus en plus et le bonheur est au rendez vous. Nous sommes comblés et impatients de voir la suite de nos projets s’accomplir !!

Retour à la case départ.

On dit « il vaut mieux être seul que mal accompagné ». Cela vient de prendre un tout autre sens d’un coup pour moi. Moi qui ai toujours été quitté cette phrase signifiait en gros : « il est nul donc tu es mieux seule ». Mais il y a quelques jours j’ai quitté la personne avec qui j’étais depuis peu. Et ce soir, c’est l’évidence qui va suivre qui m’a frappé.

Non je ne suis pas partie pour un quelconque défaut. Il possède, de ce que je connais de lui, tout un tas de qualités que je recherche chez un homme. Alors pourquoi ça ne marche pas ? Le fait est que l’engouement, les sentiments du début sont partis presque aussi vite qu’ils étaient venus. Je le sais et on ne cesse de me le répéter : « ça ne se contrôle pas, c’est que ce n’était pas lui ». Cela me semble évident mais ce constat n’en est pas moins dévastateur pour autant… Me revoilà avec ma solitude mais il vaut mieux cela à une relation à sens unique. Il est là mon constat, c’est ma fameuse évidence quant à ce proverbe idiot mais si vrai.

Mais ma question c’est « pourquoi? ». C’est injuste que ça ne marche pas. C’est horrible de lui faire du mal (« il s’en remettra ». Je sais bien…). Je suis seule, je me sens coupable et je suis en colère contre moi, je m’en veux de ne pas avoir les sentiments nécessaires pour pouvoir avancer avec lui… Et autant vous dire que : « C’est comme ça, ça ne s’explique pas et ne se commande pas » ne sont pas une réponse acceptable pour moi depuis que je lui ai fait part de ma décision. Je suis mal et c’est pas évident de savoir si ce sentiment vient du manque de lui ou du sentiment de solitude. Je suis presque sûre que c’est une question de solitude car les derniers temps, je voulais le voir quand il n’était pas là et à son arrivée je voulais être seule… Plutôt alarmant à la base, aujourd’hui je dois m’en souvenir pour tenir ma décision et ne pas céder. Ne pas céder en l’occurrence c’est ne pas le rappeler. Ce serait égoïste et je jouerai avec ses sentiments même si s’en n’est pas l’intention. Je dois le laisser faire son deuil. Et moi, je reprends ma vie d’angoisses perpétuelles sans temps morts et d’insomnies.

C’est dur…

Perdue. Encore une fois…

Le retour des angoisses. De toutes les angoisses et en même temps… Bon angoisses et coups de stress.

Pour le premier point c’est juste matériel mais ça reste bien chiant quand ca s’accumule ! Eh oui deux appareils de gros électroménager qui me lâchent à une semaine d’intervalle …. Mais on est d’accord ca fou les boules !!!

Pour le deuxième, je me rends malade… Il y a des choses que je ne comprends pas et que je pourrais jamais comprendre je crois ! Mes charmants collègues ont du mal à m’accepter dans l’équipe car j’ai le malheur de faire ce que mon chef attend de moi. Je devrais m’excuser de bien faire mon travail, que ca soit remarqué et qu’on me donne plus de responsabilités ?! Le pire c’est que dans leur discours c’est « on sait que t’y es pour rien » ou encore « tu es mise dans la situation malgré toi mais ça n’aide pas à t’intégrer ». J’ai aussi eu droit à « c’est la faute du chef, a toujours te demander de faire on passe pour des incompétents ». Dans quel monde on vit sérieusement ? Comment a l’âge qu’on a on peut tenir ce genre de discours ? Comment on peut par les paroles faire la part des choses mais pas dans les actes et les pensées ? Que quelqu’un m’explique… Je vais bosser avec une boule au ventre tellement ils sont agréables. Je vous entend d’ici « parles en a ton chef ». Ca a déjà été fait par le passé (il est vrai que je ne connaissais pas ces arguments la au départ, oui parce qu’il m’a quand même été reproché par mon chef de ne pas m’intégrer … Cest sur qu’avec ca on peut plus difficilement me le reprocher, enfin je crois). Toujours est-il que les fois précédentes mon chef devait « taper du poing sur la table » mais soit je n’ai pas eu vent de ca soit ca n’a pas été fait (comme je le soupçonne !). Les mots viennent même à me manquer tellement ça me dépasse et ce me rends mal.

Le dernier point est ridicule. Je crois que j’ai peur d’être heureuse alors je cherche les détails, les petites bêtes pour voir si ca tiens le choc ou si comme à chaque fois ça va voler en éclats….

 

J’ai tellement besoin de réussir à faire le vide et ressortir de ce cercle vicieux. Mes moments de tranquillité sont bien trop courts et quand le difficile arrive juste derrière c’est encore plus dur de supporter ca et de vivre avec… Mais il le faut bien ! Même si je m’épuise petit à petit. J’espère avoir assez de réserve pour tenir le choc.

Et si la roue avait tourné …

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Même si certaines angoisses sont toujours là et plutôt fortes, les jours qui viennent de passer ont été riches en amour. Amis, famille, enfants sans l’oublier lui … Je me laisse assez facilement aller à y croire mais quand je me pose ça me fait peur mais la confiance reprends le dessus. C’est impressionnant ! Ce besoin de le retrouver, de le voir et d’être dans ses bras … J’ai pas eu ça les dernières fois !
Il est là. Il a pas peur de mes angoisses, il fait tout pour les comprendre. Il n’aime pas me voir comme ça alors il est présent. Il s’inquiète de m’apporter ce dont j’ai besoin pour que ça passe. C’est un amour … Il me montre qu’on peut les comprendre et les surmonter ensemble. Il sait que je ne fais pas exprès et que je n’ai pas la maîtrise de tout ça. Quel soulagement au quotidien ! Il me semble tout ce qu’il y a de plus sincère et c’est l’avis d’amis qu’il a rencontré … Que demandé de plus ? L’arrêt des médicaments serait top mais comme il comprend c’est plus facile. Et il est là, vraiment là !! Il s’implique un peu plus tous les jours et me fait rêver. Il me couvre d’attentions et de cadeaux (oui bon il y avait une occasion aussi ! lol) magnifiques, du plus petit truc au truc de malade !

Je vais penser au présent, à mon présent avec lui sans trop me dire que tout peut s’arrêter. Je vais profiter de ce nuage de joie, comme le ferait une ado, aussi loin que la vie me laissera en profiter. Il arrive, je suis impatiente de retrouver ses bras, de le retrouver lui alors qu’on s’est quitté en fin de matinée … Je dois vous laisser !

Etats des lieux.

Cela fait quelques temps que je n’ai rien écrit … Après un peu de retour au calme dans ma vie et surtout la reprise d’un rythme de travail différent de celui de ces derniers mois, je

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n’étais pas très disponible. J’ai aussi eu besoin de voir du monde, des amis tout le temps (ou presque !). Et puis il y a quelques semaines, j’ai fait une rencontre. Il est un peu tôt pour dire quoi que ce soit mais les débuts sont bons. En fait, ils sont même plus que ça et autant je peux savourer que je peux me retrouver confronter à mes angoisses … La différence ? Comme à chaque fois, c’est comme si j’avais un médicament supplémentaire. Il m’apporte de la joie, des rires, de la confiance en moi, de l’importance, me couvre d’attention, veut passer son temps avec moi (même si ce n’est que pour dormir) … Je n’ai tellement plus l’habitude de ces choses là ! Je me sens tellement bien avec que ça en devient parfois effrayant ! Bah oui, s’il n’y avait pas un peu d’angoisses ça ne serait pas drôle ! Pourquoi je ne peut pas juste profiter et attendre de voir ce qui se passera ?! Stresser avant ne changera absolument rien, je le sais, et pourtant … Je garde en tête (en tout cas j’essaie) que l’histoire n’est pas obligée check listde se répéter en boucle, que tous ne sont pas les mêmes … Mais j’ai besoin de temps. Un temps qu’il est prêt à me laisser parce que : « tu en vaux la peine » m’a t-il dit. Il est réellement adorable, mais je veux être sûre. Doux rêve n’est-ce pas ? On ne peut malheureusement être sur de rien en ce qui concerne les relations … Tout marche déjà si bien que je creuse pour trouver le moindre petit défaut … Il faut que je m’arrête. Le pire qui puisse arriver après tout, c’est que ça s’arrête, une fois de plus. Au final, plus ce genre de chose arrive et plus on est en mesure de gérer la situation car on connait les différentes étapes et notre façon de les gérer. Je refuse qu’il soit celui qui gère mes angoisses car le jour où, peut être, il ne sera plus là, elles le seront toujours et reviendront en force ! C’est quelque chose que je dois continuer de gérer seule ! Mais il se sent mal quand je me renferme avec ces secrets … Il s’inquiète. Je le vois, le ressens et il me le dit … Alors on s’ajuste, on trouve des compromis. Ça a l’air de fonctionner, croisons les doigts pour que ça passe sur le long terme ! Malgré ces quelques moments d’angoisse difficiles, je me sens si bien avec lui. J’ai peur sans avoir peur.

Bref, la vie et ses contradictions ! Je pense qu’il faut apprendre à vivre avec et ne pas trop y réfléchir. Ça doit être ça le secret du bonheur ! Ou du moins une partie …

Sans queue ni tête …

Un article un peu atypique … Oui car je ne sais pas ce que je veux y dire. J’aurais donc du mal à y associer des photos !

Juste un peu besoin de parler, d’écrire mais tant de choses qui se bousculent dans ma tête … Je dors toujours mal et ce soir sera le premier d’un nouveau traitement pour dormir. Beaucoup de larmes aujourd’hui. Quelques déceptions ce week-end. Une reprise de boulot sur les chapeaux de roues. Ça et encore quelques petites choses que j’ai besoin de garder pour moi car il y a énormément de désordre dans ma tête.

Manque de sommeil et gros désordre: le médecin qui veut m’arrêter et me demande de réfléchir à la possibilité de retourner chez un psy … J’avoue me questionner sur ce dernier point depuis quelques jours maintenant mais je ne suis pas encore sûre de ce que je veux, de ce dont j’ai besoin, de ce qui pourra vraiment m’aider à ce stade !

C’est bon, j’ai à nouveau envie de pleurer !

Pourquoi j’ai lancé une lessive d’1h35 à 22h30 ?! Obligée d’attendre la fin pour aller dormir parce que c’est pas le chat qui va me l’étendre !! Et le réveil à 6h va faire mal … Demain après-midi je crois que la sieste sera de rigueur …

Aller, j’ai rien d’intéressant à dire ce soir. Je vais me préparer à dormir comme ça dès que la machine est pendue, je dors ! Bonne nuit.

Je n’aime pas le changement …

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Vous pensez qu’en partant loin. Oui laisserez vos problèmes derrière vous… Cest faux. Les problèmes vous suivent et loin de votre cocon habituel et rassurant, loin de cette routine contenante, ils prennent plutôt de la force et de l’intensité. Ils sont plus difficile à contenir et à gérer. Ils vous pompent une énergie que vous n’avez pas, demande une grosse maîtrise émotionnelle qui à force est prête à exploser. Cette semaine loin de tout sensée m’aider à passer à autre chose, à me reposer, à me ressourcer et à profiter à plus ressemblé à une semaine de torture. « Tu n’es pas seule, je craque surtout pas ! » Voilà ce qui a tourné en boucle dans ma tête. Et en plus, j’ai découvert des problèmes que je ne pensais pas avoir. Loto, à qui le tour ?

Rassurez vous, j’ai su profiter de quelques bons moments malgré cela. J’ai pris ma dose de vitamines avec le soleil quand il était là et maintenant j’ai hâte de retrouver mon chez moi, mon chat pour enfin pouvoir laisser sortir ce flot de larmes qui n’attend que ça. J’en ai mal à la tête de contenir toutes ces larmes qui me montent aux yeux toutes les deux minutes… Il faut que je tienne encore quelques heures avant de pouvoir les « libérer, délivrer » ….

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[Article court car je suis en voiture sur la route du retour … Et aussi parce que parfois il n’y a rien à ajouter …]

Point de parcours.

Cette semaine n’est pas tout à fait terminée mais elle est très éprouvante. Je n’arrête pas de me prendre des souvenirs dans la gueule (excusez moi du terme mais c’est exactement comme ça que je le vis).

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Il y a une petite partie qui morfle de ton absence. retour aux vacances de jeunesse mais il me manque quelqu’un … Toi qui aurait fêter ton anniversaire d’ici quelques jours. C’est ma première fois sans toi. Pour encore quelques mois, nous sommes dans les premières fois sans toi. Toi que j’ai tant aimé et que j’aime encore tellement.

imageL’autre partie est plus forte. Plus récente et un peu plus personnelle, car il a partagé mon quotidien durant des mois, quotidien qui a été ponctué d’un grand nombre de moments difficiles. Le manque est bien plus fort que je ne croyais. C’est comme si la rupture avait seulement lieu pour de vrai (genre avant c’était pour de faux…). Je vois « ta » voiture, je pense à toi. Je vois des choses que tu aimes, je pense à toi. Je vois un lieu, je pense à toi. Je vois un rond point, son nom me fait penser à toi. La plage et la mer me font penser à toi. Des dizaines de chansons me font penser à toi. Je me demande ce que tu fais, avec qui tu parles, si tout se passe bien là-bas. Bref, je ne crois pas qu’il se passe une heure sans que quelque chose ma fasse penser à toi. Et si c’est pas ça, ce sont les souvenirs (les bons évidemment), les incompréhensions sur comment on a pu en arriver là et bien évidemment une tonne de « et si » qui n’ont pas lieu d’être car ils font plus de mal que de bien ! Tu m’as tellement apporté que c’est difficile aujourd’hui d’avancer sans que tu sois à mes côtés. Mes larmes coulent depuis quelques lignes sans que je puisse les contrôler. Des larmes qui sont dures à cacher aux personnes que j’aime car je ne veux pas les faire peser sur eux  je veux les préserver de ça, c’est mon fardeau à moi seule. Je disais que non mais je crois bien vouloir te voir revenir vers moi me disant que tu as fait la plus grosse erreur de ta vie, que je te manque trop et que tu me demande une seconde chance … Est-ce ce que je veux vraiment, ou c’est juste parce que le moral n’est pas au top ? Je ne saurais pas le dire mais c’est ce que j’ai dans la tête depuis quelques jours. J’espère que de retour dans mon chez moi avec les marques et mes habitudes ça ira mieux, en tout cas je pense que ça sera le cas (vu que pour rien arranger mon traitement semble d’un coup insuffisant). Du coup, j’ai hâte d’être à dimanche et de retrouver mon chez moi, mon chat et ma solitude qui me permettra de craquer quand j’en aurai besoin plutôt que d’afficher en permanence ce sourire. Je suis encore plus fatiguée qu’à mon départ car oui, c’est fatiguant de jouer un rôle, le rôle de celle qui va bien pour inquiéter personne. Je sens que je ne serai plus une bonne actrice très longtemps car il m’est de plus en plus difficile de contenir imagetoutes ces larmes et émotions qui ne demandent qu’à sortir. J’ai envie de hurler ma douleur mais c’est en silence que je pleure. Et si par malheur je semble démasquée, j’ai ma parade habituelle : « je suis fatiguée » ou bien « j’ai mal au dos ». Ça marche à tous les coups, et si ce n’est pas le cas, alors c’est mon entourage qui est bon comédien car ils jouent ceux qui me croient. Là, les mots me manquent. J’avais tellement de choses à confier ici à ce sujet, je m’étais préparé un tas de belles phrases avec des enchaînements qui à cette heure ci m’échappent totalement tant je suis mal. Tout se bouscule et la seule chose dont j’ai vraiment envie là, c’est de craquer ! Et de le faire dans des bras réconfortants car du réconfort et des paroles apaisantes avec de jolis mots, c’est exactement ce qu’il me faut … J’ai envie de dire que c’est lui qu’il me faut mais ça ne m’aiderai probablement pas, pourtant je sais qu’il sera présent si je le lui demande … Mais je dois avancer. Sans lui. Sans ce qui est encore un peu une partie de moi. Même si …

imageCar ils m’apaisent et me font me sentir plus forte et en sécurité …

 

Comment ne pas se laisser bouffer ?

Factures. Loyer. Voiture. Assurance. Telephone. Internet. Impôts.

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Comment ne pas être angoissé ? Quand je vois ce qu’il me reste au 10 du mois quand tous mes prélèvements obligatoires sont fait j’ai envie de pleurer ! Si, si sérieux … Et je sais que je ne suis pas la seule, malheureusement. Comment, aujourd’hui peut-on en être la ? Je travaille, pour un début de carrière c’est plutôt correct comme paie et une fois les frais obligatoires, il me reste 100 à 150€ pour mon plein d’essence, mes courses et si j’ai de la chance quelques loisirs … Oui vous allez me dire qu’il y a toujours pire, et je le sais, mais me rend dingue, et ça m’angoisse !

A la moindre dépense il faut peser le pour et le contre, « est-ce que c’est sérieux? »… A m’en rendre malade ! Et à provoquer des crises d’angoisse (beaucoup moins fortes avec mon traitement je dois reconnaître). Rien qu’en écrivant ces mots je ressens et me rappelle l’angoisse de ces moments et j’ai envie de pleurer (bon ok, pas que pour ça en ce moment c’est un peu difficile et je vous direz pourquoi dans un prochain article !). C’est fou de travailler et de ne pas pouvoir en profiter … Mais où va-t-on ?

Dans tout ce bordel et ces prises de tête financiers, j’ai une chance que tous n’ont pas … J’ai la chance d’avoir une famille qui m’entoure et m’aide, notamment mes parents sans qui tout serait encore plus compliqué. Sans leur présence et leur soutien je ne sais pas comment je ferais … Mais c’est dur de leur demander de l’aide à nouveau quand on a été habitué à tout bien gérer seul ! Eh oui, une rupture c’est difficile sur bien des plans … Et en l’occurrence, j’y ai laissé pas mal de plumes ! Et pour tout vous dire, j’ai hâte de voir la barre se redresser, je travaille dur pour ça, croyez moi !

Absente pour cause de vacances

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Enfin peut-on vraiment parler de vacances ? Oui j’ai changé d’air, de région, de climat mais… Tout ces trucs dans ma tête, ils étaient toujours la ! Les cachets n’ont pas toujours suffit à me faire tenir. C’est dur d’être confronter aux souvenirs de l’autre qui ne partage plus notre vie. C’est dur de penser à l’autre en voyant les articles qui lui aurait plu dans un magasin. C’est dur quand c’est la dernière personne avec qui ont avait changé d’air. Quand c’est la personne qui était notre air …image

J’en ai eu des coups de blues. Quelques larmes ont coulées : subtile mélange de blues, de manque, d’inconfort et de caprice comme il disait …. J’en ai eu des instants à vouloir te contacter et te dire que tu me manques, que je pense énormément à toi. Mais non, il faut avancer. Il faut créer de nouveaux souvenirs, de nouvelles envies et de nouveaux réflexes. Eh oui, ça fait partie de ces « premières fois après » … C’est ce que l’on appelle la reconstruction. Et dans l’Histoire avec un grand « H » comme dans la vie, c’est pas toujours évident, loin de la.

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Il faut un peu de temps, de la patience, quelques bons amis et de bons moments à partager avec eux ! La famille, ça aide aussi mais c’est totalement différent. Moins il en savent, mieux je me porte de ne pas leur avoir laissé en plus du reste ce fardeau qui et le mien. Heureusement, il y a ici de belles éclaircies et des températures très agréables ! Par moment j’ai juste envie de marcher jusqu’à la plage, m’asseoir dans le sable et écouter ce silence, regarder cette tranquillité. Juste fermer les yeux et sentir la douce caresse des rayons de soleil sur mon visage afin d’éloigner cette larme qui pointe au coin de mon œil. Cette larme qui dit que partager ce moment avec lui aurait été parfait. Cette larme qui, s’il me l’essayait sera parfaite. Mais il n’en est rien, alors ces caresses, je les prends pour moi seule, pour sourire une fois de plus à la vie qui m’attends quelque part ! Par là-bas peut être …

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